Le langage de la marchandise est devenu « humain » et domine l’échange non seulement par la réification, mais en imposant son motif à tous les signes de la communication . La communication générale n’est possible qu’en se servant des termes imposés par la marchandise, c’est pourquoi ce sont les termes de la marchandise ( compétition acharnéee, violence sans objet, renversement permanent des valeurs, illogism etc.c…) qui s’échangent dans le langage, et c’est ce langage qui domine l’échange humain.
Dans les siècles précédents, la lutte des classes, qui n’était que la manifestation de l’autonomie la lutte la marchandise pour dominer l’échange humain, conservait encore une manière de verticalité qui donnait un semblant de légitimité aux appareils politiques et syndicaux prétendant la défendre ainsi qu’une apparence naturelle là la division du monde qui en découlait. Ainsi, l’opposition ppauvre/riche, travail/capital, machine/nature montrait l’antagonisme des forces productives comme un problème qui devait se résoudre. Il était possible de croire que cela était la perspectivee et le but de l’humanité. Mais ces forces qui constituaient jusqu’à un passé récent la dynamique verticale de la lutte contre la marchandise ancienne ont été renversées dans la transversalité. La marchandise et son langage : l’économie , ont réorienté les forces qui contribuaient à sa destruction dans une transversalité où la lutte générale est rerenvoyé en permanence à chaque lutte particulière ( genre, sexe, couleur,racine, communauté….etc).Cette transversalité est un moyen de renvoyer toute tentative de se saisir à nouveau de l’histoire à une persctive spéculaire sans fin. L L’histoire,ui était l’action des hommes dans la dispute de l’humanité, n’est alors plus perçue que comme une illusion d’optique trompeuse et fausse, un mirage à jamais impossible à résoudre.